Les
origines de la civilisation égyptienne antique, que beaucoup
considèrent comme l'un des jets de fontaine de la culture occidentale,
ne peut être établie avec certitude. Des
preuves archéologiques suggèrent que les habitants tôt dans la vallée
du Nil ont été influencés par les cultures du Proche-Orient, mais le
degré de cette influence est encore à déterminer. Décrivant
le développement de la civilisation égyptienne, comme des tentatives
pour identifier ses fondements intellectuels, est en grande partie un
processus de conjecture basée sur les découvertes archéologiques des
ruines, des tombeaux, durables et monuments, dont beaucoup contiennent
des spécimens inestimables de la culture antique. Inscriptions en hiéroglyphes, par exemple, ont fourni des données précieuses.
Le
cadre de l'étude de la période dynastique de l'histoire égyptienne,
entre la 1ère dynastie et l'époque ptolémaïque, repose sur la Aegyptiaca
de Manéthon, prêtre ptolémaïque de la 3ème siècle avant JC, qui a
organisé les dirigeants du pays en 30 dynasties, correspondant à peu
près familles. Un
accord général existe sur la division de l'histoire égyptienne, jusqu'à
la conquête d'Alexandre le Grand, en royaumes anciens, au Moyen et au
Nouveau avec des périodes intermédiaires, suivis par les périodes
ptolémaïque et fin, mais la chronologie et la généalogie sont
continuellement affinées à la lumière des nouveaux éléments de preuve et par l'utilisation de plus en plus sophistiqués techniques de datation.
Environ
60.000 ans, le Nil a commencé son inondation annuelle des terres le
long de ses rives, laissant derrière lui un sol alluvial riche. Zones proches de la plaine d'inondation est devenue attractive en tant que source de nourriture et d'eau. Avec
le temps, les changements climatiques, y compris les périodes de
sécheresse, a servi à limiter l'habitation humaine dans la vallée du
Nil, même si ce n'était pas toujours le cas. De
la période chalcolithique (âge du cuivre, en commençant à environ 4000
avant JC) dans la première partie de l'Ancien Empire, les gens
apparemment utilisé une partie étendue de la terre.
Dans
le 7e millénaire avant JC, l'Egypte est respectueux de l'environnement
hospitalier, et la preuve de colonies de cette époque ont été trouvés
dans les régions désertiques du sud de la basse, ou la Haute-Egypte;
reste de l'occupation similaire ont été découverts sur les sites nubiens
dans le Soudan actuel. Poterie
assez ont été trouvés dans les tombes égyptiennes supérieures du 4ème
millénaire avant JC (dans la période prédynastique) pour établir une
séquence datation relative. La
période prédynastique, qui se termine par l'unification de l'Egypte
sous un seul roi, est généralement subdivisé en trois parties, dont
chacune se réfère à l'emplacement où ses matériaux archéologiques ont
été trouvés: Badarian, amratiennes (Nagada I), et gerzéenne (Nagada II et III). Les
sites nordiques (à partir d'environ 5500 avant JC) ont donné du
matériel archéologique datable de la continuité culturelle évidente,
mais pas de séquences à long terme tels que ceux trouvés dans le sud.
Les
sources archéologiques indiquent l'émergence, par la période de la fin
de gerzéenne (environ 3200 avant JC), d'une force politique dominante
qui allait devenir l'élément consolidant dans le premier royaume unifié
de l'Egypte ancienne. Les
premières dates connues écriture hiéroglyphique de cette période;
bientôt les noms des premiers souverains ont commencé à apparaître sur
les monuments. Cette
période a commencé par une dynastie 0, ce qui a eu pas moins de 13
dirigeants, se terminant par Narmer (environ 3100 avant JC), suivi par
les 1ère et 2ème dynasties (environ 3100-2755 avant J.-C.), avec au
moins 17 rois. Certaines
des premières structures mortuaires massifs (les prédécesseurs des
pyramides) ont été construites à Abydos et ailleurs au cours des 1er et
2ème dynasties.
L'Ancien Empire (2755-2255 avant JC environ) a duré cinq siècles de domination par la 3e à la 6e dynasties. La
capitale était dans le nord, à Memphis, et les monarques au pouvoir
détenait le pouvoir absolu sur un gouvernement fortement unifié. La
religion a joué un rôle important, en fait, le gouvernement avait
évolué pour devenir une théocratie, dans laquelle les Pharaons, les
dirigeants ont été appelés, étaient tous les deux monarques absolus et
aussi des dieux sur terre.
Le
3e dynastie a été la première des maisons memphite, et son deuxième
règle, Zoser ou Djéser, qui régna sur 2737-2717 BC, a souligné l'unité
nationale par des motifs d'équilibrage Nord et du Sud dans ses bâtiments
mortuaires à Sakkara. Son
architecte, Imhotep, utilisé des blocs de pierre plutôt que des briques
de terre traditionnelles dans le complexe, créant ainsi la première
structure monumentale en pierre, son élément central, la pyramide à
degrés, tombeau de Djoser était. Afin
de traiter les affaires d'Etat et de gérer des projets de construction,
le roi a commencé à développer une bureaucratie efficace. En général, la 3e dynastie a marqué le début d'un âge d'or culturel de fraîcheur et de vigueur.
Le
4ème dynastie a commencé avec le roi senfru, dont les projets de
construction inclus la première pyramide vrai à Dahshor (au sud de
Saqqarah). Snéfrou,
le roi guerrier tôt pour lesquels des documents complexes demeurent, a
fait campagne en Nubie et en Libye et a été actif dans le Sinaï. Promouvoir le commerce et l'exploitation minière, il a apporté la prospérité au royaume. Snéfrou a été succédé par son fils (ou Chéops) Khéops, qui a construit la grande pyramide de Gizeh. Bien
peu de choses sont connues de son règne, ce monument non seulement
témoigne de son pouvoir, mais indique également les compétences
administratives de la bureaucratie avaient gagné. Fils
de Khéops Redjedef, qui régna sur 2613-2603 BC, introduit l'élément
solaire (Ra, ou Re) dans le titulaire royale et la religion. Khéphren
(Khéphren ou), un autre fils de Khéops, succéda à son frère sur le
trône et a construit son complexe funéraire de Gizeh. Les
dirigeants restants de la dynastie inclus Mykérinos, ou Mykérinos, qui
régna sur 2578-2553 avant JC, il est surtout connu pour la plus petite
des trois grandes pyramides de Gizeh.
En
vertu de la 4ème dynastie, la civilisation égyptienne a atteint un
sommet dans son développement, et ce haut niveau a été généralement
maintenue dans les 5e et 6e dynasties. La
splendeur des prouesses d'ingénierie des pyramides a été approchée dans
tous les autres domaines d'activité, y compris l'architecture, la
sculpture, la peinture, la navigation, les arts industriels et de
sciences et l'astronomie; astronomes memphite d'abord créé un calendrier
solaire basé sur une année de 365 jours . Les
médecins de l'Ancien Empire a également fait preuve d'une remarquable
connaissance de la physiologie, de la chirurgie, le système circulatoire
du corps, et des antiseptiques.
Bien
que la 5ème dynastie maintenu la prospérité du commerce extérieur vaste
et incursions militaires en Asie, signe de réduction de l'autorité
royale est apparu dans le gonflement de la bureaucratie et le
renforcement du pouvoir ne administrateurs royaux. Le
dernier roi de la dynastie, Ounas, qui régna sur 2428-2407
Colombie-Britannique, a été enterré à Sakkara, avec un corps de sorts
religieuses, appelées Textes des Pyramides, gravés sur les murs de sa
chambre de pyramide. Ces textes ont également été utilisés dans les tombes royales de la dynastie 6ème. Plusieurs
inscriptions autobiographiques de fonctionnaires en vertu de la 6e
dynastie indiquent l'état de diminution de la monarchie, les dossiers
indiquent même une conspiration contre le roi Pépi Ier, qui régna sur
2395-2360 Colombie-Britannique, où l'épouse du souverain a été impliqué.
On
estime que, durant les dernières années de Pépi II, qui régna sur
2350-2260 avant J.-C., la puissance peut-être dans les mains de son
vizir (ministre en chef). L'autorité centrale de l'économie a également été diminué par des décrets d'exemption de taxes. Les
nomes (districts) ont été rapidement devenir individuellement puissant,
comme les monarques-gouverneurs de la. Quartiers-commençaient à rester
en place plutôt que d'être périodiquement transférés vers différents
Nomes
La dynastie septième marqué le début de la première période intermédiaire. À la suite de conflits internes, les rênes de cette dynastie et la réussite 8 sont plutôt obscures. Il est clair, cependant, que les deux décidé de Memphis et a duré un total de seulement 25 ans. A
cette époque, les nomarques puissants exerçaient un contrôle efficace
de leurs districts, et les factions dans le sud et le nord rivalisaient
pour le pouvoir. Sous
les dynasties Heracleopolitan 9e et 10e, les nomarques près
Héracléopolis contrôlé leur région et ont étendu leur pouvoir au nord de
Memphis (et même dans le delta) et au sud de Assiout (Lycopolis). Les
nomarques rivaux du sud de Thèbes a établi le 11e dynastie, le contrôle
de la région d'Abydos à Eléphantine, près de Syène (aujourd'hui
Assouan). La première partie de cette dynastie, la première de l'Empire du Milieu, chevaucher la dernière partie du 10ème.
Sans
un gouvernement centralisé, la bureaucratie n'était plus efficace, et
les préoccupations régionales ont été ouvertement défendu. L'art égyptien est devenu plus provincial, et pas de complexes funéraires massifs ont été construits. La religion a également été démocratisée, comme les roturiers revendiqué prérogatives autrefois réservés à la royauté seul. Ils
pourraient, par exemple, l'utilisation des sorts provenant des Textes
des Pyramides royales sur les murs de leurs propres cercueils ou de
tombeaux.
Bien
que l'Empire du Milieu (2134-1784 avant JC) est généralement datée
d'inclure l'ensemble des 11e dynastie, il commence bien avec la
réunification du pays par Mentouhotep II, qui régna de 2061 à 2010 av. Les
premiers souverains de la dynastie tenté d'étendre leur contrôle de
Thèbes à la fois vers le nord et vers le sud, mais il a été laissé à
Mentouhotep pour compléter le processus de réunification, quelque temps
après 2047 av. Mentouhotep
a régné pendant plus de 50 ans, et en dépit de révoltes occasionnelles,
il a maintenu la stabilité et le contrôle de tout le royaume. Il a remplacé certains nomarques et limité le pouvoir des nomes, qui était encore considérable. Thèbes
était sa capitale, et son temple funéraire à Deir el Bahri incorporé
des éléments traditionnels et régionaux, le tombeau était séparé du
temple, et il n'y avait pas de pyramide.
Le règne du premier roi de la dynastie 12ème, Amenemhat I, a été pacifique. Il
a établi une capitale près de Memphis et, contrairement à Mentouhotep,
désaccentué liens thébains en faveur de l'unité nationale. Néanmoins, le dieu thébain Amon importante a été mis en avant au cours d'autres divinités. Amenemhat
exigé la fidélité des nomes, reconstruit la bureaucratie, et instruit
le personnel des scribes et des administrateurs. La
littérature était principalement propagande visant à renforcer l'image
du roi comme un «bon berger» plutôt que comme un dieu inaccessible. Au cours des dix dernières années de son règne, Amenemhat a régné avec son fils comme co-régent. "L'histoire de Sinouhé», une œuvre littéraire de l'époque, implique que le roi a été assassiné.
Amenemhat successeurs ont continué ses programmes. Son
fils, Sésostris Ier, qui régna 1962-1928 BC, construit des forteresses
tout au long de la Nubie et établi des liens commerciaux avec les pays
étrangers. Il a envoyé des gouverneurs de la Palestine et de la Syrie et a fait campagne contre les Libyens à l'ouest. Sésostris II, qui a régné 1895-1878 Colombie-Britannique, a commencé la bonification des terres à Al Fayoum. Son
successeur, Sésostris III, qui régna 1878-1843 avant JC, avait un canal
creusé à la première cataracte du Nil, formaient une armée permanente
(qu'il a utilisé dans sa campagne contre les Nubiens), et construit de
nouveaux forts sur la frontière sud. Il
a divisé l'administration en trois unités géographiques puissantes,
chacune commandée par un fonctionnaire dans le cadre du vizir, et qu'il
ne reconnaissait plus nobles provinciaux. Amenemhat III poursuit la politique de ses prédécesseurs et a prolongé la réforme agraire.
Une renaissance vigoureuse de la culture a eu lieu sous les rois de Thèbes. L'architecture,
l'art et les bijoux de l'époque révèlent une extraordinaire délicatesse
de conception, et le temps a été considéré comme l'âge d'or de la
littérature égyptienne.
Les
dirigeants de la dynastie 13-environ 50 ou plus dans environ 120 ans,
ont été plus faibles que leurs prédécesseurs, mais ils étaient encore en
mesure de contrôler la Nubie et l'administration du gouvernement
central. Au
cours de la dernière partie de leur règle, cependant, leur puissance a
été contestée non seulement par la dynastie rivale 14 qui a gagné le
contrôle du delta, mais aussi par les Hyksos, qui ont envahi d'Asie
occidentale. Par la 13ème dynastie y avait une population importante Hyksos dans le nord de l'Egypte. Comme
le gouvernement central est entré dans une période de déclin, leur
présence a permis un afflux de personnes d'un côté du littoral de la
Phénicie et de la Palestine et de la mise en place d'une dynastie
Hyksos. Cela
marque le début de la deuxième période intermédiaire, une période de
troubles et de la désunion qui a duré quelques 214 années. Les
Hyksos de la dynastie 15ème régna de leur capitale à Avaris, dans le
delta oriental, maintenir le contrôle sur les régions centrales et
septentrionales du pays. Dans
le même temps, la dynastie 16ème existait aussi dans le delta et la
Moyenne-Egypte, mais il peut avoir été subordonnées aux Hyksos. Plus
d'indépendance a été exercée dans le sud par une tierce puissance
contemporaine, la dynastie thébaine 17 qui a régné sur le territoire
entre Éléphantine et Abydos. Le
souverain thébain Kamose, qui régna sur 1576-1570 avant JC, ont lutté
contre les Hyksos avec succès, mais c'était son frère, Ahmosis qui a
finalement réunir les humilia, en Egypte.
Avec l'unification du pays et la fondation de la 18e dynastie par Ahmose I, le Nouvel Empire (1570-1070 avant JC) a commencé. Ahmose
rétablit les frontières, les objectifs et la bureaucratie de l'Empire
du Milieu et relancé son programme de bonification des terres. Il
a maintenu l'équilibre du pouvoir entre les nomarques et lui-même, avec
le soutien de l'armée, qui ont été récompensés en conséquence. L'importance
des femmes dans le Nouvel Empire est illustrée par les titres élevés et
la situation des épouses royales et les mères.
Une
fois Amenhotep Ier, qui régna 1551-1524 avant JC, avait le plein
contrôle de son administration, il a été co-régent pendant cinq ans, il a
commencé à étendre les limites de l'Egypte, en Nubie et en Palestine. Un
grand bâtisseur à Karnak, Aménophis, contrairement à ses prédécesseurs,
séparé sa tombe de son temple funéraire, il a commencé la coutume de
cacher son dernier lieu de repos, puis il a poursuivi les progrès de la
nouvelle ère impériale et a insisté sur la prééminence du dieu Amon. Son tombeau a été le premier dans la Vallée des Rois. Thoutmosis
II, son fils mineur par une femme, lui succéda, épouser la princesse
royale Hatchepsout à renforcer sa prétention au trône. Il a maintenu les réalisations de ses prédécesseurs. Quand
il est mort en 1504 avant JC, son héritier, Thoutmosis III, était
encore un enfant, et ainsi de Hatchepsout gouverné comme un régent. En un an, elle avait elle-même couronnée pharaon, puis la mère et le fils a décidé conjointement. Lorsque
Thoutmosis III réalisée seule règle à la mort d'Hatchepsout en 1483
avant JC, il reconquit la Syrie et de la Palestine, qui avait rompu sous
la domination conjointe, puis a continué à étendre son empire. Ses annales dans le temple de Karnak chronique nombre de ses campagnes. Près de 20 ans après la mort d'Hatchepsout, il a ordonné l'effacement de son nom et des images. Amenhotep
II, qui a régné 1453-1419 avant JC, et Thoutmosis IV a essayé de
maintenir les conquêtes asiatiques face aux menaces croissantes du
Mitanni et les Etats hittite, mais ils ont jugé nécessaire d'utiliser
les négociations ainsi que de la force.
Amenhotep
III a tranché en paix pendant près de quatre décennies, 1386-1349 avant
JC, et art et d'architecture prospéré au cours de son règne. Il a maintenu l'équilibre du pouvoir entre les voisins de l'Egypte par la diplomatie. Son
fils et successeur, Akhenaton (Aménophis IV), était un réformateur
religieux qui ont combattu le pouvoir de la prêtrise Amon. Akhenaton
abandonné Thèbes pour une nouvelle capitale, Akhetaton (voir Grand
Amarana al ', qui a été construit en l'honneur d'Aton, le disque du
soleil sur laquelle sa religion monothéiste centrée. La révolution
religieuse a été abandonné vers la fin de son règne, cependant, et
son fils-frère, Toutankhamon, est revenu de la capitale à Thèbes.
Toutankhamon est aujourd'hui connue principalement pour son tombeau
richement meublée, qui a été trouvé presque intact dans la Vallée des
Rois par les archéologues britanniques Howard Carter et Lord Carnarvon
en 1922. La 18e dynastie a pris fin avec Horemheb, qui régna de 1321 à 1293 av.
Le
fondateur de la 19e dynastie, Ramsès Ier, qui régna de 1293 à 1291
avant JC, avait servi son prédécesseur comme vizir et chef de l'armée. Régnant
seulement deux ans, il a été remplacé par son fils, Séthi Ier, qui
régna 1291-1279 avant JC, il a mené des campagnes contre la Syrie, la
Palestine, les Libyens et les Hittites. Seti a construit un sanctuaire à Abydos. Comme son père, il a favorisé la capitale du delta de Pi-Ramsès (maintenant Qantir). Un de ses fils, Ramsès II, lui succéda et régna pendant près de 67 ans. Il
était responsable de la construction beaucoup à Louxor et Karnak, et il
a construit le Ramesseum (son temple funéraire à Thèbes), les temples
creusés dans la roche à Abou Simbel, et les sanctuaires à Abydos et
Memphis. Après les campagnes contre les Hittites, Ramsès fit un traité avec eux et épousa une princesse hittite. Son
fils, qui régna Merneptah 1212-1202 Colombie-Britannique, ont défait
les Peuples de la mer, des envahisseurs venus de la mer Egée, qui a
balayé le Moyen-Orient dans le 13ème siècle avant JC, et les dossiers
parler de sa désolation d'Israël. Dirigeants plus tard a dû composer avec des soulèvements constants par les peuples soumis de l'empire.
La
deuxième règle de la 20e dynastie, Ramsès III, a eu ses victoires
militaires représenté sur les murs de son complexe funéraire à
Médinet-Habou, près de Thèbes. Après
sa mort, le Nouvel Empire ont diminué, principalement en raison de la
montée en puissance du sacerdoce d'Amon et de l'armée. Un prêtre et chef militaire, même s'était illustré dans insignes royaux.
La 21ème à travers les dynasties 24e sont connus sous le Troisième période intermédiaire. Rois
régnants de Tanis, dans le nord, ont rivalisé avec une ligne de grands
prêtres, à qui ils semblent être liés, de Thèbes, dans le sud. Les
dirigeants de la 21ème dynastie peuvent avoir été partiellement libyen
de l'ascendance, et la 22e dynastie libyenne a commencé avec chefs comme
des rois. Comme les Libyens «règle détériorée, plusieurs concurrents ont augmenté de les contester. En
fait, les deux prochaines dynasties, la 23e et 24e, étaient
concomitantes à une partie de la 22e dynastie, tout comme le 25
(Koushite) Dynastie effectivement contrôlée grande partie de l'Egypte
pendant les dernières années du 22e et 24e dynasties.
Le 25ème et le 31ème dynasties a gouverné l'Egypte pendant le temps qui est venu à être connu sous le nom de la Basse Epoque. Les Ethiopiens a régné de 767 à propos de la Colombie-Britannique jusqu'à ce qu'ils soient chassés par les Assyriens en 671 av. Règle
native a été rétablie au début de la 26e dynastie par Psammétique I.
Une résurgence de la réalisation culturelle, qui rappelle des époques
antérieures, a atteint son apogée au 26e dynastie. Quand
le dernier roi égyptien a été défait par Cambyse II, en 525 avant
J.-C., le pays est entré dans une période de domination perse sous la
dynastie 27. L'Egypte
a réaffirmé son indépendance sous les dynasties des 28e et 29e, mais la
dynastie 30ème était le dernier des chefs indigènes. La dynastie des 31 qui ne figure pas dans la chronologie de Manéthon, représentait la seconde domination perse.
L'occupation de l'Egypte par les forces d'Alexandre le Grand en 332 avant JC a mis fin à la domination perse. Alexander
nommé Cléomène de Naucratis, un résident grec en Egypte, et son général
macédonien, connu plus tard sous Ptolémée Ier, pour gouverner le pays. Bien
que deux gouverneurs égyptiens ont été nommés ainsi, le pouvoir était
clairement entre les mains de Ptolémée, qui en quelques années a pris le
contrôle absolu du pays.
Les
rivalités avec les autres généraux, qui ont sculpté des sections de
l'empire d'Alexandre après sa mort en 323 avant JC, occupait une grande
partie du temps de Ptolémée, mais en 305 avant JC, il prit le titre
royal et fonda la dynastie qui porte son nom (voir dynastie
ptolémaïque). Égypte
ptolémaïque était l'une des grandes puissances du monde hellénistique,
et à plusieurs reprises elle a étendu sa domination sur des parties de
la Syrie, en Asie Mineure, Chypre, la Libye, la Phénicie, et d'autres
terres.
En
partie parce que les dirigeants indigènes égyptiens avaient un rôle
réduit dans les affaires d'Etat sous le régime de Ptolémée, ils
démontrés périodiquement leur mécontentement par des révoltes ouvertes,
qui ont tous été, cependant, vite réprimé. Sous
le règne de Ptolémée VI, l'Egypte devint un protectorat sous Antiochus
IV de Syrie, qui ont réussi ont envahi le pays en 169 av. Les
Romains, cependant, contraint de renoncer à Antiochus le pays, qui a
ensuite été divisé entre Ptolémée VI et son frère cadet, Ptolémée VIII,
ce dernier a pris le contrôle complet sur la mort de son frère en 145
av.
Les Ptolémées suivantes préservé la richesse et le statut de l'Egypte tout en continuant à perdre territoire aux Romains. Cléopâtre VII fut le dernier souverain de la grande ligne de Ptolémée. Dans
une tentative pour maintenir la puissance égyptienne elle-même alignée
avec Jules César et, plus tard, Marc-Antoine, mais ceux-ci ne se déplace
que reportée à la fin. Après ses forces ont été défaits par les légions romaines sous Octave (futur empereur Auguste), Cléopâtre se suicide en 30 av.
Depuis
près de sept siècles après la mort de Cléopâtre, les Romains commandés
Égypte (sauf pendant une courte période dans le 3ème siècle après JC,
quand il est venu sous le pouvoir de la reine Zénobie de Palmyre). Ils
ont traité l'Egypte comme une précieuse source de richesse et de profit
et dépendaient de son approvisionnement en céréales pour nourrir leurs
multitudes. Egypte
romaine était gouvernée par un préfet, dont les fonctions de commandant
de l'armée et de juge officiel étaient semblables à ceux des pharaons
du passé. Le bureau a donc été celui avec lequel la population indigène était familier. En
raison de l'immense pouvoir des préfets, toutefois, leurs fonctions ont
finalement été divisée sous l'empereur Justinien, qui, dans le 6ème
siècle après JC mettre l'armée sous le commandement séparé, directement
responsable devant lui.
L'Egypte à l'époque romaine a été relativement calme, sa limite sud d'Assouan a été rarement attaqué par les Ethiopiens. La
population égyptienne est devenue hellénisée sous les Ptolémées, et
elle comprenait d'importantes minorités des Grecs et des Juifs, ainsi
que d'autres peuples venus d'Asie Mineure. Le mélange des cultures n'a pas conduit à une société homogène, et la guerre civile était fréquente. En 212, cependant, l'empereur Caracalla accordé la citoyenneté ensemble de la population dans l'Empire romain.
Alexandrie,
la ville portuaire de la Méditerranée fondée par Alexandre le Grand,
est restée la capitale comme elle l'avait été sous les Ptolémées. L'une
des grandes métropoles de l'Empire romain, elle fut le centre d'un
commerce florissant entre l'Inde et de l'Arabie et les pays
méditerranéens. C'était
la maison de la grande bibliothèque d'Alexandrie et son musée et avait
une population de quelque 300.000 (à l'exception des esclaves).
Egypte
est devenue un pilier de l'économie de l'Empire romain, non seulement
en raison de sa récolte annuelle de céréales, mais aussi pour son verre,
le métal et d'autres produits manufacturés. En
outre, le commerce apporté les épices, les parfums, les pierres
précieuses et les métaux rares en provenance des ports de la mer Rouge. Une fois partie de l'empire, l'Egypte a fait l'objet d'une série de taxes ainsi.
Afin
de contrôler les gens et calmer le puissant clergé, les empereurs
romains protégé l'ancienne religion, complété ou embelli temples
commencés sous les Ptolémées, et avaient leurs propres noms inscrits sur
eux comme Pharaons, les cartouches de plusieurs peut être trouvé à
Isna, Kawn Umbu, Dandara et de Philae. Les cultes égyptiens d'Isis et de Sérapis répandue dans le monde antique. L'Egypte était aussi un important centre de la chrétienté au début et le premier du monachisme chrétien. Son église copte monophysite ou séparé de la chrétienté traditionnelle dans le 5ème siècle.
Pendant
le 7ème siècle la puissance du romain d'Orient (Byzance) Empire a été
contestée par les Sassanides de Perse, qui ont envahi l'Egypte en 616. Ils
ont été expulsés de nouveau en 628, mais peu de temps après, en 642, le
pays est tombé aux Arabes, qui ont apporté avec eux une nouvelle
religion, l'islam, et a commencé un nouveau chapitre de l'histoire
égyptienne.
Aliéné
par l'intolérance religieuse et de la fiscalité lourde du gouvernement
byzantin, les Egyptiens coptes offert peu de résistance à leurs
conquérants arabes. Un
traité a été signé par la suite, par lequel les Egyptiens ont accepté
de payer un impôt de capitation (jizya) en échange d'une promesse arabe à
respecter les pratiques religieuses, la vie et la propriété des Coptes.
En
plus de l'impôt de capitation, la population masculine, estimé entre 6
et 8 millions d'euros, payé le kharaj, une taxe prélevée sur les terres
agricoles.
Aucun
changement dans l'administration ont été faites par les Arabes, qui ont
adopté le système byzantin décentralisée des gouverneurs de province
qui relève d'un gouverneur en chef, résidant dans la capitale,
Alexandrie. Ils
n'ont, cependant, plus tard déplacer la capitale à un nouvel
emplacement plus central, appelé Al Fustat («la tente»), à quelques
miles au sud de l'actuelle Caire.
Pour
les deux prochains siècles Egypte était gouvernée par des gouverneurs
nommés par le calife, le chef de la communauté musulmane. Dans
ce système, la règle doux et généreux en alternance avec la gravité et
de l'oppression religieuse, selon le caractère du gouverneur nommé, sa
relation avec la population et ses besoins financiers. L'immigration
de tribus arabes et le remplacement de la langue copte par l'arabe dans
tous les documents publics a commencé un lent processus d'arabisation
qui a finalement été de transformer langue copte chrétienne d'Égypte
dans une grande partie musulmane et tout pays de langue arabe. Copte est devenue une langue liturgique.
Sous
les califes abbassides (750-868), les gouverneurs ont été nommés pour
de courtes périodes, et l'Egypte a été en proie à une série
d'insurrections résultant de conflits entre les différentes sectes de
musulmans qui s'étaient installés là-bas: les sunnites, majoritaires ou
orthodoxe et la minorité secte chiite. A plusieurs reprises, les Coptes ont également augmenté pour protester contre la taxation excessive. Ces soulèvements ont été atteints par la répression et la persécution par le gouvernement. Les
conditions internes est devenue si mauvaise dans la fin du 8ème siècle
qu'un groupe de nouveaux immigrants d'Andalousie se sont alliés avec une
tribu arabe et saisi Alexandrie, le tenant jusqu'à ce qu'une armée est
arrivée à Bagdad et dans les exila en Crète. Insurrections ont continué d'éclater parmi les Arabes, qui a même battu un gouverneur et brûlé ses bagages. Rébellions
par les Coptes ont continué jusqu'à ce que le calife Abdallah al-Mamun a
dirigé une armée turque à réprimer les révoltes en 832. Ce fut une période de gouverneurs impitoyables et sans scrupules, qui ont abusé de la population et extorqué de l'argent. Le
seul rempart contre cette oppression réside dans le chef qadi, le
premier magistrat du pays musulman, qui a maintenu le droit sacré-la
charia dans le visage d'abus de pouvoir, et a contribué à atténuer la
rapacité des gouverneurs.
En
dépit d'une population essentiellement rurale, les centres commerciaux a
prospéré, et Al Fustat a grandi pour devenir une metropolis.From de
négociation 856 Égypte en avant a été donné comme un iqta, une forme de
fief, à l'oligarchie militaire turque qui a dominé le califat à Bagdad. En 868 Ahmad ibn Tulun, un Turc de 33 ans, a été envoyée dans le pays en tant que gouverneur. Un
homme de la capacité et de l'éducation, Tulun a jugé à bon escient et
bien, mais il a également tourné en Egypte une province autonome, en
lien avec les Abbassides seulement par le paiement annuel d'un petit
hommage. Tulun construit une nouvelle ville, Al Qita'ì ("les quartiers"), au nord d'Al Fustat. Sous son règne bienveillant Egypte a prospéré et élargi à l'annexe Syrie. Dynastie Tulun (le Toulounides) a décidé depuis 37 ans sur un empire qui comprenait l'Egypte, la Palestine et la Syrie.
Après la dernière règle par les Toulounides, le pays est tombé dans un état d'anarchie. Son
état de faiblesse et sans défense a fait une proie facile pour les
Fatimides, une dynastie chiite en 909, rejetant l'autorité des
Abbassides, avaient proclamé leur propre califat en Tunisie et par le
milieu du siècle-10ème contrôlé la plus grande d'Afrique du Nord. En
969 ils ont envahi et conquis l'Egypte et a ensuite fondé une nouvelle
ville, Le Caire, au nord de Al Fustat, ce qui rend leur capital. Voir califat.
Al Fustat, cependant, est resté le centre commercial du pays sous les Fatimides. C'était un très beau centre urbain à plusieurs étages avec un système d'égouts souterrain excellent. Un
voyageur iranien, Nasir-i-Khosrau, qui a visité l'Egypte en 1046,
émerveillé par les marchés des pays riches et la sécurité de la terre. L'Egypte a ensuite connu une période de tranquillité et de prospérité.
Les
Fatimides, bien que les chiites dans leurs croyances, la plupart du
temps coexisté pacifiquement avec la population majoritairement sunnite.
Ils ont fondé la plus ancienne université du monde, Al-Azhar, au Caire et est devenu un grand centre intellectuel.
Tranquillité
disparu avec les dirigeants fatimides plus tard, qui ne pouvaient pas
contrôler leurs régiments de soldats indisciplinés berbères et
soudanais. Un faible Nil provoqué une famine grave en 1065. Nouveau
danger est apparu avec la première croisade de l'Europe occidentale,
qui a pris le contrôle chrétienne de Syrie et de Palestine dans le 1090s
en retard. Les
califes fatimides, en maintenant des pions dans les mains de leurs
généraux, a fait appel à Nur ad-Din de Halab (Alep), et il envoya une
armée pour les aider à lutter contre les Croisés en 1168. Saladin, l'un des Nur ad-Din généraux, a été installé en tant que vizir. En 1171, il abolit le califat fatimide, la fondation de la dynastie ayyoubide et la restauration sunnite règle en Egypte. Saladin
reconquiert la plupart de la Syrie et de la Palestine des Croisés et
est devenu le plus puissant souverain du Moyen-Orient de cette époque. Son
neveu, le sultan al-Kamil, qui a régné 1218-1238, a défendu avec succès
une attaque contre l'Egypte chrétienne en 1218-1221, mais après la mort
de son pouvoir ayyoubide diminué. La
croisade neuvième, dirigé par Louis IX de France, a été repoussée en
1249, avec l'aide des Mamelouks, les troupes d'esclaves au service
ayyoubide. L'année suivante, les Mamelouks ont renversé les Ayyoubides et ont établi leur maison propre décision.
La première dynastie des Mamelouks, la Bahri, a été au pouvoir que les sultans d'Egypte jusqu'en 1382. Succession héréditaire a souvent été ignorée et le trône usurpé par les plus puissants émirs (chefs militaires). Beaucoup
d'entre eux étaient souverains remarquables, tels que Baybars Ier, qui
arrêta l'avance des Mongols en Syrie et en Egypte en 1260. Deux
autres invasions mongoles ont été repoussés par les Mamelouks, qui a
également expulsé les Croisés de la région et capturé 'Akko, leur
dernier bastion en Palestine, en 1291. À la fin du 13e et au début du 14ème siècle, le royaume des Mamelouks s'étendait au nord jusqu'aux confins de l'Asie Mineure.
L'âge des Mamelouks fut l'un des éclat extraordinaire dans les arts. C'était
aussi une époque d'expansion commerciale; marchands d'épices, de
l'Egypte, de la Karimi, étaient princes marchands qui rivalisent avec
les émirs de condescendance les arts.
Après la mort du dernier grand sultan Bahri, al-Nasir, en 1341, l'Egypte est tombé dans déclin. Ses descendants étaient de simples figures de proue qui ont permis un réel pouvoir reste entre les mains des émirs. En 1348, la peste connue comme la peste noire a balayé le pays, la réduction drastique de la population.
La deuxième dynastie de sultans mamelouks, les Burjis, était d'origine circassienne et gouverné de 1382 à 1517. La
plupart des dirigeants Burji exercé peu d'autorité réelle; leur
dynastie a été marquée par les luttes de puissance continue parmi
l'élite des Mamelouks. Au
milieu de la rébellion et de guerre civile, les Mamelouks ont continué à
maintenir l'Egypte et la Syrie en raison de leur capacité à repousser
les invasions. En
début du 16ème siècle, cependant, ils ont été menacés par la montée en
puissance de l'Empire ottoman, et en 1517 le sultan ottoman Selim I a
envahi l'Égypte et il a statué.
Bien
que la prise réelle des Turcs ottomans sur l'Égypte devait durer que
jusqu'au 17ème siècle, le pays est resté nominalement partie de l'Empire
ottoman jusqu'en 1915. Plutôt que d'exterminer les Mamelouks, les Ottomans les ont utilisés dans leur administration. Ils ont établi un gouverneur et se sont installés six ocaks (régiments) en Egypte comme une garnison. Dans
les temps romains ocaks se marièrent avec les peuples autochtones, en
jouant un rôle important dans la vie économique et politique du pays. Les
zones rurales ont été considérées comme des terres de la Couronne,
morcelés en parcelles appelées iqta, dont le produit est allé à l'élite
ottomane.
Au
fil du temps, une tendance inflationniste que les historiens ont noté
dans répercussions de l'Europe du 16e siècle avaient en Egypte ainsi. La hausse des prix a conduit à la rivalité entre les ocaks sur les richesses du pays. Ceci a affaibli leur contrôle, et les Mamelouks engouffrés dans la brèche. Par le milieu du 17ème siècle, les émirs mamelouks, ou beys, avaient établi leur suprématie. Les
impôts fonciers ont été cultivés au milieu d'eux, et les guildes
urbaines, qui ont été étroitement lié avec les ocaks romains, ont été
taxé comme un moyen de diminuer l'influence ottomane et d'accroître les
recettes. Les Ottomans qui y ont consenti le système tant que l'hommage a été régulièrement payés.
La
période allant de la 16e à la moitié du 18ème siècle fut une époque de
prospérité commerciale, lorsque l'Egypte, au carrefour de plusieurs
routes commerciales, a été le centre d'un commerce florissant
intermédiaire dans le café, les textiles et les épices.
Le
gouverneur ottoman est rapidement devenu une marionnette, d'abord dans
les mains des régiments, qui détenaient le pouvoir militaire, et ensuite
dans les mains des Mamelouks, qui sont venus pour contrôler les ocaks. Le
leader mamelouk bey, appelé le cheikh al-Balad («chef de la ville"), ce
qui a été reconnu comme le véritable maître de la terre. Les beys imposé plus d'impôts pour financer leurs expéditions militaires en Syrie et en Arabie. Bien
que battu en Syrie par les Ottomans, qui une fois de plus cherché à
renforcer leur autorité, les Mamelouks dominé l'Egypte jusqu'en 1798. Les
30 dernières années du 18ème siècle ont été marquées par la peste et la
famine qui a réduit la population à un nu 4 millions d'euros.
L'occupation
française de l'Égypte en 1798, dirigée par Napoléon Bonaparte, était un
bref intermède, pour la domination française complète jamais acquis ou
de contrôle. Les régions productrices de céréales de Haute-Egypte est restée aux mains des Mamelouks. L'invasion
de Napoléon était de trop courte durée pour avoir un impact durable,
mais il a marqué le début d'un regain d'intérêt européen en Egypte. En 1801, une force anglo-ottomane expulsé les Français. Pour
les prochaines années, les luttes entre les Mamelouks et les Ottomans
pour la maîtrise ruiné le pays jusqu'à ce que Muhammad Ali, un général
ottoman d'origine albanaise, s'est emparé du pouvoir avec la coopération
de la population locale. En 1805, le sultan ottoman a déclaré le gouverneur de l'Egypte.
Muhammad
Ali, un homme de génie, lentement et méthodiquement détruits ou achetés
tous ses adversaires jusqu'à ce qu'il devienne la seule source de
pouvoir dans le pays. Pour prendre le contrôle de toutes les routes commerciales vers l'Egypte, il s'est lancé dans des guerres d'expansion. Il
a d'abord conquis Al Hijaz (Hedjaz, maintenant en Arabie Saoudite) en
1819 et du Soudan de 1820 à 1822; en 1824 il était prêt à aider le
sultan ottoman étouffer une insurrection en Grèce. Les
puissances européennes, cependant, est intervenue pour mettre fin à des
avances égyptiens en Grèce, et Muhammad Ali a été contraint de retirer
son armée.
À
la maison, Muhammad Ali a encouragé la production de coton pour
alimenter les usines de textiles de l'Europe, et il a utilisé les
profits pour financer des projets industriels. Il a établi un monopole sur toutes les matières premières et les barrières commerciales imposées pour nourrir l'industrie. Il
a envoyé Égyptiens à l'étranger pour l'enseignement technique et engagé
des experts venus d'Europe pour former son armée et de construire ses
industries manufacturières (qui, cependant, n'ont jamais été aussi
réussi comme il l'espérait qu'ils seraient).
En 1831, Muhammad Ali envahit la Syrie, entrant ainsi en conflit avec son suzerain turc. Les
Egyptiens ont défait les armées ottomanes, et en 1833, ils menaçaient
la capitale turque, à Constantinople (aujourd'hui Istanbul). Une fois de plus, la Russie, la Grande-Bretagne, et la France est intervenu, cette fois pour protéger le sultan. Les forces de Muhammad Ali a retiré, mais il a été laissé dans le contrôle de la Syrie et de la Crète.
Expansion
égyptienne et le contrôle des routes commerciales en conflit avec
l'intérêt croissant de Grande-Bretagne au Moyen-Orient comme un marché
pour sa production industrielle en plein essor. La
menace pour l'intégrité de l'Empire ottoman a également perturbé la
Grande-Bretagne et réveillé les craintes d'atteinte russe en
Méditerranée. Pour
ces raisons, les Britanniques contre l'Egypte, et quand Muhammad Ali à
nouveau rebellés contre le sultan en 1839, ils sont intervenus pour la
troisième fois pour lui faire redescendre. On
lui a offert la possession héréditaire de l'Egypte, mais a dû renoncer à
ses autres conquêtes et de demeurer un vassal ottoman.
Après la mort de Muhammad Ali en 1849, l'Egypte s'est de plus en plus sous l'influence européenne. Son
fils, Saïd Pacha, fait quelques tentatives pour moderniser le
gouvernement, mais a laissé une énorme dette quand il est mort. Son
successeur, M. Ismail, a augmenté la dette nationale en empruntant
généreusement de banquiers européens pour développer le pays et de payer
pour le canal de Suez, qui a été ouvert en 1869. Ces
dirigeants prodigalité conduit le pays à la faillite et, finalement,
dans le contrôle de leurs créanciers britanniques et français. En
1876, une commission anglo-française a pris en charge des finances de
l'Egypte, et en 1879, le sultan déchu Ismail en faveur de son fils
Tawfik Pacha. Officiers de l'armée, dégoûtés par la faiblesse du gouvernement, puis a mené une rébellion pour mettre fin à contrôle étranger. Tawfik appel aux Britanniques de l'aide, et ils ont occupé l'Égypte en 1882.
Des intérêts britanniques en Egypte provient du canal de Suez que la route la plus courte vers l'Inde. Promet d'évacuer le pays une fois l'ordre rétabli ont été brisées, et l'armée britannique est resté en activité jusqu'en 1954. Bien
que Tawfik est resté sur le trône comme un prince figure de proue, le
consul général britannique était le véritable maître du pays. Le premier consul général et le plus important était de Sir Evelyn Baring (connu après 1892, Lord Cromer).
Un
mouvement nationaliste dirigé par Mustafa Kamil, un avocat européen
instruite, a été soutenue par le successeur de Tawfik, Abbas II, au
cours des années 1800 et début des années 1900. Kamil
agitée à l'autonomie gouvernementale et la fin de l'occupation
britannique, mais a été ignoré par la Colombie-authorities.In cette
période agriculture égyptienne a été si complètement dominé par le coton
cultivé pour nourrir les usines de textile du Lancashire, en
Angleterre, que le grain devait être importé pour nourrir la population rurale. Les
projets d'irrigation ont été réalisés pour accroître les terres arables
et en temps opportun de la totalité de la dette de la Grande-Bretagne
était paid.British promesses d'évacuer diminué comme l'Egypte et le
canal de Suez est devenue une partie intégrante de la politique de
défense britannique en Méditerranée. L'occupation
illégale a été, en fait, sanctionnées au niveau international en 1904,
lorsque la France a reconnu les droits britanniques en Egypte en échange
de la reconnaissance des droits des francophones en Colombie au Maroc.
Le déclenchement de la Première Guerre mondiale, en 1914, apporté activités nationalistes en Egypte à sa fin. Quand
la Turquie entre en guerre aux côtés de l'Allemagne, la Grande-Bretagne
a déclaré l'Egypte un protectorat et déposé Abbas II en faveur de son
oncle, Hussein Kamel, qui a reçu le titre de sultan. Liens
juridiques entre l'Egypte et la Turquie ont finalement été rompu, et la
Grande-Bretagne a promis des changements dans l'Egypte du gouvernement
une fois la guerre terminée.
Les
années de guerre a entraîné de grandes difficultés pour les paysans
égyptiens, les fellahs, qui étaient réquisitionnés pour creuser des
fossés et dont le bétail a été confisquée par l'armée. L'inflation était galopante. Ces
facteurs étaient responsables de l'augmentation du ressentiment contre
les Britanniques et préparer le terrain pour le soulèvement violent qui
devait venir après la Première Guerre mondiale s'est terminée en 1918.
llied
promet que les anciens territoires ottomans serait permis d'eux-mêmes
espoirs suscités en Egypte de l'indépendance une fois la guerre
terminée. Un nouveau mouvement nationaliste, le Wafd («délégation»), a été formé en 1918 afin de planifier pour l'avenir du pays. Les
espoirs ont été anéantis quand la Grande-Bretagne a refusé de tenir
compte des besoins égyptiens, et Saad Zaghloul, le chef du Wafd, a été
exilé. Le pays a éclaté en révolte violente, et la Grande-Bretagne a été contraint de reconsidérer sa décision. Zaghloul
a été libéré, mais ses efforts pour obtenir une audience à la
Conférence de paix de Paris ont été contrecarrées par les Britanniques. La
violence a continué jusqu'en 1922, quand la Grande-Bretagne a déclaré
unilatéralement l'Egypte une monarchie indépendante sous le successeur
Hussein, qui devint roi Fouad Ier que les Britanniques, toutefois
réservé le droit d'intervenir dans les affaires égyptiennes si leurs
intérêts étaient menacés, privant ainsi l'Egypte de toute autonomie
réelle et permettant le contrôle britannique se poursuivent sans relâche.
La
nouvelle constitution de 1924 mise en place d'un système bicaméral,
mais, sous la pression des Britanniques et Fuad, ce dernier a donné le
droit de nommer le premier ministre et suspendre le Parlement. Le
résultat a été une lutte tripartite pour la maîtrise de l'Egypte
impliquant le roi, l'ambassadeur britannique, et le Wafd, qui était le
seul local du parti. Un gouvernement après l'autre est tombé après avoir essayé en vain d'arracher des concessions aux Britanniques. En
1936, sous les pressions causées par l'invasion italienne de
l'Ethiopie, un traité anglo-égyptien a finalement été signé, mais il a
continué l'occupation physique de l'Egypte par l'armée britannique et
l'implication de l'armée britannique dans les affaires intérieures.
Seconde Guerre mondiale (1939-1945) a suspendu la négociation politique plus. Les années de guerre a ramené l'inflation, les conflits interpartis, et la désillusion avec le Wafd. Organisations
fondamentalistes religieux, comme les Frères musulmans et les groupes
communistes developed.In 1948 Egypte et de plusieurs autres pays arabes
sont entrés en guerre dans une tentative infructueuse pour empêcher la
création de l'Etat d'Israël. Blâmer
le gouvernement pour sa perte, l'armée s'est retournée contre le roi
Farouk, le fils de Fuad, qui n'a montré aucune aptitude pour le
gouvernement et un mépris flagrant pour le bien-être du public et de la
moralité. En
1952, un groupe d'officiers de l'armée a mené une fructueuse coup
d'Etat qui a renversé le roi et l'Egypte en 1953, a déclaré une
république.
Le premier président de la république, le général Mohammed Naguib, était une figure de proue. Le
vrai chef était Gamal Abdel Nasser de Conseil du commandement
révolutionnaire, les officiers qui avaient conspiré la révolution. En Avril 1954, Nasser est devenu premier ministre. En Novembre de cette année, Naguib a été écarté du pouvoir, et Nasser supposé pouvoir exécutif complet. En Juillet 1956 Nasser a été officiellement élu président.
Au
début, Nasser a suivi une politique pro-occidentale et a réussi à
négocier l'évacuation des forces britanniques en Egypte en 1954. Bientôt
il se tourna vers une politique de neutralité et de la solidarité avec
les autres pays africains et asiatiques et est devenu un défenseur de
l'unité arabe.
Dans
efforts pour acquérir des armements, que le monde occidental ne
fournissent pas à l'Egypte, Nasser se tourna vers le bloc de l'Est. En représailles, la Banque mondiale a rejeté la demande de l'Égypte un prêt pour financer le projet du barrage d'Assouan. Nasser a nationalisé donc le canal de Suez et a cherché à utiliser ses revenus pour financer le barrage. Irrité
par ce mouvement, la Grande-Bretagne et la France, les principaux
actionnaires dans le canal, a rejoint avec Israël à attaquer l'Egypte en
1956. La
pression exercée par les Etats-Unis et l'Union des républiques
socialistes soviétiques (URSS) ont obligé les trois pays à évacuer le
territoire égyptien, et des Nations Unies (ONU) ont été placés forces
comme un tampon entre l'Égypte et Israël.
Poursuivant
son rêve d'unité arabe, Nasser effectué en 1958 une union entre
l'Egypte et la Syrie sous le nom de la République arabe unie. Même
si elle n'a duré que trois ans avant que les Syriens se sont rebellés
et ont réaffirmé leur indépendance, l'Egypte a conservé le nom officiel
de la République depuis de nombreuses années par la suite.
Dans
le régime de Nasser en Egypte supprimé l'opposition politique et mis en
place un système de parti unique comme un moyen de réformer la vie
politique. Une série de décrets propriété foncière limitée et miné l'autorité de l'élite de propriétaires terriens. En
1961, les capitaux étrangers investis en Egypte a été nationalisée,
tout comme les services publics et les industries locales, qui tous sont
devenus une partie du secteur public. Cette nouvelle commande, qui s'appelle socialisme arabe de Nasser, qui vise à l'égalité sociale et la croissance économique. En
1962, une charte nationale a été élaboré, et le Parti de l'Union
nationale officielle a été rebaptisée Union socialiste arabe. Les femmes, qui avaient été émancipés plus tôt, ont été élus à l'union, tout comme les travailleurs. La première femme ministre a été nommé.
En
1962, l'Egypte est devenue en proie à une guerre civile au Yémen, la
sauvegarde d'un mouvement républicain contre les forces monarchistes. Cela a coûté des vies et de l'argent et de risque ont quitté le pays affaibli. En
1967, Nasser, la poursuite de la lutte arabe contre Israël, fermé le
détroit de Tiran à la navigation israélienne et a demandé que les forces
de l'ONU soient retirés de la frontière. Les
Israéliens, estimant que Nasser se préparait à la guerre, a frappé le
premier, attaquant et en détruisant aérodromes égyptiens et les
positions dans le Sinaï. Les forces israéliennes ont avancé jusqu'à ce qu'ils atteignent la rive droite du canal de Suez. Cette guerre des Six Jours a quitté Israël en possession de toute la péninsule du Sinaï. Le Conseil de sécurité a appelé à un retrait israélien des territoires occupés. Israël n'a déclin et a continué à occuper le Sinaï. Lorsque
les négociations semblait ne mener nulle part, Nasser se tourna vers
l'URSS, qui réarmé l'Egypte en échange d'un base.Nasser navale est mort
subitement en 1970. Problèmes
de succession au poste de président ont été réglées quand le
vice-président Anouar El-Sadate, un collègue de longue date de Nasser, a
été choisi pour lui succéder.
Sadate a été élu en opposant les factions politiques comme candidat de compromis, sur l'hypothèse qu'il pourrait être manipulé. Le
nouveau président, cependant, serait déjoué ses-être marionnettistes
et, avec le soutien de l'armée, les mettre en état d'arrestation. Il
a libéré les prisonniers politiques qui avaient été incarcérés par
Nasser pour s'opposer à sa politique, et a appelé à un régime de
libéralisation économique et politique, en particulier pour la presse,
qui Nasser avait strictement contrôlé.
affrontements
entre l'Egypte et Israël se sont poursuivis après 1969, et cette
«guerre d'usure» a donné lieu à de nombreuses victimes égyptiennes et
les lourdes dépenses militaires. Sadate a essayé de trouver un moyen de sortir de cette négociation impress. succès qu'il a secrètement prévu pour une guerre pour libérer les territoires occupés d'Israël du Sinaï. Il
a d'abord réparer ses clôtures avec les Etats arabes, en particulier
l'Arabie saoudite, qui a financé l'achat d'armes de l'Union soviétique. Puis,
le 6 Octobre 1973, le jour saint juif de Yom Kippour et pendant le mois
sacré musulman du ramadan (10 Ramadan), l'Egypte a lancé une
contre-attaque de l'air et l'artillerie à travers le canal de Suez. En quelques heures, des milliers de soldats égyptiens ont réussi à franchir dans le Sinaï. Protégé
par un parapluie missile qui a détruit les avions israéliens, ils ont
envahi et capturé la chaîne de fortifications israéliennes connues sous
le nom de la ligne Bar-Lev. Israël a été pris au dépourvu. Ce fut une victoire totale. Vers
le milieu du mois, cependant, avec l'aide immidate des États-Unis, il
avait repris l'initiative et a réussi à encercler des unités égyptiennes
à la périphérie de Suez. L'Organisation
des Nations Unies a alors imposé un cessez-le-feu, et une ligne
d'armistice patrouillé par des forces de l'ONU a finalement été établi
entre l'Egypte et les armées israéliennes.
Après la guerre Sadate était prêt à des négociations. En
1974 et 1975, l'Égypte et Israël ont conclu des accords de nouveau
médiée par Kissinger apport de désengagement sur le front du Sinaï. En Juin 1975 l'Egypte a rouvert le canal de Suez, permettant le passage de navires transportant des cargaisons israéliens. Israël
s'est retiré au-delà des passes stratégiques et de certains des champs
pétrolifères du Sinai.Meanwhile, la situation économique de l'Egypte
était en pleine expansion pire, au début de 1976 par la dette du pays à
l'URSS a été estimé à 4 milliards de dollars. L'année
suivante, surprenant tout, Sadate a demandé aux conseillers militaires
soviétiques de quitter le pays et a jeté son sort avec les Etats-Unis,
en déclarant qu'il détenait la clé de la paix au Moyen-Orient. Encore plus surprenant, le 19 Novembre 1977, Sadate s'est envolé pour Israël et adressé à la Knesset (parlement). Le parcours historique a été suivi par de nouvelles négociations sous les auspices des États-Unis. Lors
d'une conférence tripartite avec le président américain Jimmy Carter à
Camp David, dans le Maryland, en Septembre 1978, Sadate et le Premier
ministre israélien Menahem Begin mis d'accord sur un cadre pour un
règlement israélo-égyptienne. Un traité de paix entre les deux nations, fondée sur les accords de Camp David, a été signé à Washington, DC, le 26 Mars, 1979.
Le
reste du monde arabe a dénoncé l'Egypte pour faire une paix séparée
avec Israël, et quelques-uns des plus «purs et durs» des dirigeants
arabes de marque Sadate un traître à la cause arabe. Le
Sinaï a été progressivement restaurée à l'Egypte, mais plus tard
égypto-israéliennes pourparlers sur un règlement de la question
palestinienne fait peu de progrès. L'Egypte
a été expulsé de la Ligue arabe en 1979 à cause du traité de paix, et
le siège de la ligue ont été déplacés du Caire à Tunis, Tunisie. En 1989, l'Egypte a été réadmis à la ligue, le siège a été déplacé au Caire l'année suivante. En
1981, Sadate avait une opposition croissante au sein de réunion Égypte
elle-même, surtout à partir de fondamentalistes musulmans, qui
s'opposaient à un compromis avec Israël. Sadate
a répondu par une répression, arrêtant et en emprisonnant des centaines
de ses adversaires, et en imposant des restrictions sur la presse. Dans
une telle atmosphère, il a été assassiné par des fanatiques religieux
au sein de sa propre armée le 6 Octobre 1981, lors d'un défilé militaire
commémorant le Yom Kippour War.Sadat a été remplacé par le
vice-président Hosni Moubarak. Tout
en adhérant aux accords de Camp David, M. Moubarak a demandé la
libéralisation politique en Egypte, ainsi que l'amélioration des
relations avec d'autres pays arabes. Israël a achevé son retrait du Sinaï le 25 Avril, 1982.
11022011,
ou pour mieux le comprendre, vendredi 11:02:2011, une date que le
peuple d'Egypte souviendrai toujours, comme c'était le cas ce jour-là
que le président Hosni Moubarak Sayyid abandonné le contrôle du pays et
se sont enfuis à «l'exil "à Charm El-Cheikh. Mais
comme il était en fuite depuis le Caire, la même idée est venu à
l'esprit des médias du monde entier, après tout, les problèmes sont
maintenant terminés, et 18 jours de manifestation pacifique était venu à
une conclusion; il n'y avait donc plus de nouvelles. Au
cours de la semaine suivante, les rapports de l'Égypte a commencé à
s'estomper dans l'histoire comme le Yémen, la Libye, et beaucoup
d'autres des pays de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord)
ont commencé leurs propres manifestations, qui n'étaient pas aussi
civilisés que celui égyptienne et donc beaucoup plus dignes d'intérêt. Équipes
de tournage ont été relogés, les journalistes déménagé à de nouvelles
«zones de guerre» et, presque aussi vite qu'ils sont arrivés, ils se
retirèrent, laissant derrière lui la collecte habituelle des «locaux»
aux journalistes: et se trouve présente le problème avec la façon dont
le monde médias
rapportent les événements: c'est que de bonnes nouvelles quand il
s'agit de mauvaises nouvelles; mauvaises nouvelles se vend, de bonnes
nouvelles, c'est ennuyeux!
Le
vendredi soir, le monde occidental a augmenté comme un à féliciter
l'Égypte sur la réalisation de son objectif et très vite de nombreux
dirigeants du monde, ou leurs représentants, se dirigeaient vers le
Caire. Le
Premier ministre britannique, David Cameron, a été le premier à arriver
et a promis que la Grande-Bretagne aiderait à la renaissance de
l'Egypte. Il
a été suivi par beaucoup d'autres, y compris la secrétaire d'Etat
américaine, Hillary Clinton, et le sénateur américain John Kerry
La place Tahrir pendant les manifestations
M.
Cameron a déclaré qu'il serait utile, et en quelques heures
d'avertissement du Royaume-Uni étrangères et du Commonwealth voyage
siège a été levé, mais il a fallu attendre vers la fin de Mars pour les
Etats-Unis de lever partiellement leur mise en garde; étaient Mme
Clinton et M. Kerry juste ici pour les séances de photos et projecteurs des médias? Voilà
pour le discours du président Obama sur le vendredi soir quand il a
dit: «Les Etats-Unis continueront à être un ami et un partenaire en
Egypte Nous sommes prêts à fournir toute l'aide nécessaire et demandé de
poursuivre une transition crédible vers. démocratie. Egyptiens nous ont inspirés "
